Un candidat investi par l’UMP qui porte les couleurs de Sens Commun aux élections départementales de mars 2015.
Jérôme Duchesne, 37 ans, candidat sur le canton Nantes 2 (44)
Pourquoi vous êtes-vous engagé en politique ?
Je suis engagé en politique en tant que père de famille pour reconstruire et transmettre une certaine France à mes enfants et futurs petits-enfants. Une France fière de ses origines. Une France qui instruit. Une France désendettée et innovante.
Je suis engagé en politique en tant que chef d’entreprise pour réconcilier la politique avec le réel. Mon investiture pour les départementales est la mise en œuvre de mon engagement en politique.
Quel est l’enjeu de cette élection dans votre département ?
Les deux enjeux majeurs de cette élection sont de reprendre le département à la gauche et de réduire son endettement. Une des compétences du Conseil Départemental est l’Education (collèges). Je souhaite rapprocher l’école et l’entreprise. Nous devrions davantage encourager les partenariats avec les entreprises dès le collège afin de montrer aux élèves la réalité du monde économique. Il est important de donner l’envie d’entreprendre. Tout au moins l’envie d’entreprendre déjà leur vie professionnelle. Il faut former les parents et les enseignants sur ce sujet, véhiculer une autre image de l’apprentissage et lui donner plus de place.
Le Conseil Départemental est également en charge du RSA. L’apprentissage est un moyen de réduire le nombre de personnes éligibles au RSA en améliorant l’insertion dans le monde du travail. Nous devons cesser l’assistanat et investir sur les compétences de chacun.
De quelle façon les adhérents de Sens Commun peuvent-ils vous aider ?
Mon engagement est celui de tous les adhérents de SC44 ! Je les attends à mes côtés pour aller à la rencontre des habitants de mon canton, en faisant du porte à porte, des marchés, en allant à la rencontre des commerçants, des maisons de retraite et également en se levant tôt pour coller les affiches !
Comment envisagez-vous la politique autrement ?
Une façon de faire de la politique autrement, c’est que je n’ai rien à gagner de la politique à titre personnel, je m’engage simplement dans l’espoir de transmettre une autre France à mes enfants et futurs petits enfants. Je ne suis pas issu de l’appareil, je suis dirigeant de PME et je peux vivre sans faire de la politique. En revanche, je ne peux plus rester les bras croisés à regarder le train dérailler.