Le supplice de Lola, 12 ans, égorgée après avoir subi des actes de torture, n’est pas un « fait-divers ». C’est un fait politique.
La piste du « déséquilibré » avancée pour anesthésier notre colère ne passe plus.
D’autres choix politiques en matière sécuritaire et migratoire auraient permis d’éviter cet acte barbare. Rendre justice à chaque victime exige de remonter maillon par maillon, la chaîne des responsabilités.
Justice pour les victimes !