Emmanuel Macron a annoncé des mesures techniques, telles que la fin progressive des « imams détachés » ou des ELCO (enseignements des langues et cultures d’origine) : Et ensuite ?

A l’évidence, on peut y voir un refus de penser et de dire la cause du mal qui gangrène la France : l’islamisme se nourrit des renoncements que le Président aggrave encore en revendiquant l’existence d’identités multiples en France.

A ce refus de travailler à l’unité de la nation, nous opposons notre volonté d’œuvrer pour une France fière de la civilisation qui l’a forgée; une France qui n’ait pas honte de préserver et transmettre son héritage historique, culturel et humain; une France qui cesse de s’excuser de son identité.

La volonté hégémonique de l’Islam politique est la plus grande menace qui frappe aujourd’hui notre pays. L’islamisme utilise les libertés et les droits individuels de notre société à ses propres fins en revendiquant le droit de « vivre en halal », c’est-à-dire conforme au rite musulman dans tous les aspects de la vie. Nourriture, vêtements, mais aussi cosmétiques, jouets, vacances ou encore finances, cet espace normatif régit tout et fait le lit d’un communautarisme revendiqué.

Confier des responsabilités au CFCM, celui-là même qui affirmait que « Mila l’avait bien cherché », relève d’un dangereux aveuglement alors que l’urgence commande des décisions courageuses : expulsion des prêcheurs de haine et des islamistes étrangers, fermeture définitive des mosquées islamistes, fin de l’immigration de masse qui est un obstacle à l’assimilation, liberté de s’opposer aux textes de droit international qui contrediraient l’intérêt de la France.

Garantir la paix, préserver et protéger notre mode de vie nécessitent bien plus que les annonces éparpillées et velléitaires du Président. Il faut une véritable volonté politique pour défendre la France contre ceux qui veulent la détruire.