Le 20 mai au soir, l’agonie de Vincent Lambert aura débuté. Une mort programmée, déclenchée, organisée. Monsieur Lambert n’est pourtant pas en fin de vie. Depuis un accident en 2008, il est lourdement handicapé mais il dort la nuit, se réveille le matin, regarde ses visiteurs. Il a besoin d’être nourri et hydraté, lavé et massé par un autre que lui. Parce qu’il a perdu l’autonomie, certains estiment qu’il doit aussi perdre la vie

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