Nos libertés sont aujourd’hui même menacées. L’application StopCOVID est proposée au vote ce mercredi. Elle vise à suivre les personnes testées positives au coronavirus dans un but certes louable : enrayer la progression du virus. 

Cette surveillance généralisée, possible grâce aux nouvelles technologies, est le premier pas vers “un totalitarisme numérique qui prendra toujours pour prétexte le bien commun pour se justifier et s’imposer”. L’Etat s’apprête à s’immiscer de façon inédite dans nos vies au nom d’une sacralisation de la santé et de la sécurité. Mais qu’est-ce que vivre en sécurité si on n’est pas libre ? 

C’est la question que pose Patrice Franceschi dans ce remarquable article auquel nous faisons écho et que nous vous invitons à lire pour comprendre pourquoi nous nous opposons fermement à ce projet.

Lire l’article :  Patrice Franceschi:  «Le traçage est un pas de plus vers le totalitarisme numérique»